
La dame avait également saisi la CDP par lettre-plainte datée du 28 décembre 2015 après avoir attrait en justice ladite société de téléphonie au motif que celle-ci lui avait causé des troubles de sommeil, voire des troubles psychiques qu’elle a dû traiter à l’hôpital entre 2013 et 2014.
Estimant que la CDP aurait dû saisir le procureur en application de la loi sur la protection des données personnelles, madame Ndiaye a adressé une deuxième plainte à la présidente de la CDP Awa Ndiaye.
La CDP avait réagi à travers un communiqué. Assez pour que l’intéressée indique avoir peur pour sa personne. Suite à la publication du Rapport 2020 de l’OFNAC et aux démentis des uns (communiqué CDP du 11/05/2022) et des autres (communiqué de la Sonatel du 02 08/2018), je ne me sens plus en sécurité en ces moments où tout peut arriver à n’importe qui… », a-t-elle posté sur Twitter.
« Les violations qui sont résumées dans les “Résultats des Investigations” de l’OFNAC à la page 48, ont déjà fait l’objet d’une Instruction ouverte au 3ème Cabinet sous le numéro RI 37/17. J’avais déjà lancé cette alerte depuis le 11 Avril 2018 auprès de la Gendarmerie… Aujourd’hui, plus qu’hier je me sens en insécurité. Ce dossier étant toujours en cours d’instruction, je me dois d’en respecter le secret et ne pas polémiquer sur le bon fondement ou non des motivations de ma plainte », a-t-elle ajouté.
Elle a d’ailleurs adressé une lettre au commandant de la LGI de Mbao pour demander protection.
via DAKARACTU